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C’est le 16 octobre qu’a ouvert au musée national de la Marine à Paris l’exposition En solitaire autour du monde, dont Tip & Shaft est partenaire. L’idée remonte à un peu plus de trois ans, comme le confie Lénaïg L’Aot-Lombart, la commissaire.

Fondateur de Biscay Composites, Borja Nebreda peut se targuer d’une solide expérience en matière de construction et de refit de bateaux high-tech. Après avoir participé chez King Marine à la construction de l’AC72 d’Artemis Racing pour la Coupe de l’America 2013 et oeuvré chez Persico Marine sur les VOR65 de la Volvo Ocean Race 2017-2018, l’Espagnol a notamment été responsable composite au sein du Team Malizia de Boris Herrmann lors de la construction de Malizia-Seaexplorer.

On savait Yannick Bestaven, tenant du titre du Vendée Globe et skipper de Maître Coq, naturellement passionné de vitesse. On savait moins qu’il était fou de bagnole, entraîné par un père – qu’on croise souvent sur les pontons – longtemps collectionneur de voitures, avec qui il regardait les Grands prix et les épreuves de rallye.

En avril dernier, en parallèle de The Transat CIC, course en solitaire en Imoca entre Lorient et New York, le CIC s’est également engagé comme partenaire officiel des Imoca Virtual Series, jeu en ligne sur Virtual Regatta.

A quoi ressemble, vue de l’intérieur, une saison Figaro tournée vers un seul objectif : la Solitaire du Figaro Paprec ? Gauthier Lebec, le réalisateur de ce documentaire de 27 minutes y répond en plongeant au cœur du team Skipper Macif et en collant aux bottes du duo Loïs Berrehar-Charlotte Yven pendant plus de 6 mois.

Après trois olympiades en 470 avec son frère Sven, le Néerlandais Kalle Coster, passionné de technologie et titulaire d’un master en management des entreprises, décide en 2014 de lancer Sailmon. ADN olympique oblige, il développe un outil de navigation, baptisé Max, destiné à être embarqué sur un petit dériveur et comprenant un afficheur de données qui sont par ailleurs enregistrées pour servir a posteriori à l’analyse des performances.

Il y a presque 50 ans, en 1975, Gori Propeller a sorti son premier produit, une hélice bipale. Depuis, la gamme s’est étoffée, avec d’abord une hélice bipale Racing, développée au milieu des années 1990 pour des bateaux engagés sur la Whitbread, ensuite une hélice tripale, pouvant équiper des moteurs jusqu’à 300 chevaux, enfin une quadripale.

Comment résumer quatre décennies d’histoire en 8 minutes et 25 secondes ? Pas facile ! Et pourtant, c’est le pari réussi par CDK 40 ans de course au large, film réalisé par PolaRYSE et produit par CDK Technologies à l’occasion des 40 ans du chantier.

Fondée en 1996, MX3 s’est d’emblée positionnée sur le marché des plats lyophilisés, avant de se développer sur celui de la nutrition sportive, deux secteurs dans lesquels elle est un acteur majeur aujourd’hui en France. La société implantée aux Sables d’Olonne a dès ses débuts proposé ses solutions nutritionnelles gustatives et facilement transportables aux coureurs au large, avec des recettes traditionnelles : bœuf bourguignon, tartiflette, fondue trois fromages…

Proposer des produits nutritifs à base de miel aux sportifs, telle est l’idée concrétisée en 2014 par Vincent Garos et Benoît Mary avec Meltonic. Le premier, ancien membre de l’équipe de France de voile olympique – 7e aux JO de Londres 2012 en 470 avec Pierre Leboucher – est alors commercial dans le secteur de l’industrie. Le second dirige de son côté l’entreprise Famille Mary, créée en 1921 par son grand-père, apiculteur.

Tout part d’un constat, partagé par tous les marins naviguant sur des Imoca dotés de grands foils, dont Damien Seguin, le skipper de Groupe Apicil, qui explique : “Les conditions de vie à bord deviennent vraiment difficiles, à cause des chocs, mais aussi des sons. Sur les dernières courses, notamment Retour à La Base fin 2023, nous sommes arrivés éreintés, après avoir subi des traumatismes assez importants. Je me suis cassé un doigt et j’ai eu des acouphènes pendant plus d’une semaine. C’est à l’issue de cette épreuve que le projet d’embarquer des capteurs biométriques sur le Vendée Globe a mûri. La sécurité des marins devient une préoccupation majeure.”